Label Qualité
Premier examen de France, le permis de conduire est également un outil indispensable de mobilité et représente un véritable passeport d’insertion professionnelle et sociale, en particulier pour les jeunes. La formation au permis de conduire ne nécessite aucun prérequis.
Les jeunes conducteurs, notamment en deux roues, sont les premières victimes de la route. Les accidents de la route ne sont pas liés à la fatalité et pour aider les nouveaux conducteurs à se déplacer avec un risque faible d’accidents et de séquelles, la formation est primordiale. Construire, s’adapter à chacun, développer la motivation et lutter contre le décrochage sont les nouveaux enjeux affichés de notre formation.
Notre formation vise l’acquisition de compétences en termes de savoirs, savoir-faire, savoir-être et savoir-devenir.
L’objectif de notre ingénierie de formation est de former de futurs conducteurs sûrs, responsables, respectueux des règles, conscients des risques, qui partagent la route avec les autres et réfléchissent à leur comportement pour s’améliorer tout au long de leur vie d’usager de la route.
Apprendre à conduire est une démarche éducative exigeante et le livret d’apprentissage est le miroir de l’apprentissage.
DEROULEMENT DE LA FORMATION Cat.B
Avant l’inscription et le début de la formation, une évaluation de départ est réalisée soit sur ordinateur, soit en véhicule. Elle permet de définir un volume prévisionnel de formation et d’adapter l’enseignement au profil et aux caractéristiques de chacun.
THEORIE
La formation théorique B (ETG) comprend des cours et des tests effectués en présentiel ou à distance et une sensibilisation sur les principaux facteurs d’accident, au travers de cours collectifs animés par un enseignant, sur rendez-vous et selon le planning affiché à l’auto-école.
Les 10 thèmes sont :
• La circulation routière (panneaux, intersections, circuler, croiser et dépasser, stationner ou s’arrêter)
• Le conducteur (conduire, défaillances du conducteur)
• La route (nuit et intempéries, autoroute, zones dangereuses)
• Les autres usagers (partage de la route)
• Les notions diverses (documents administratifs, chargement et passagers, infractions)
• Les premiers secours (protéger, alerter et secourir)
• Prendre et quitter son véhicule (s’installer au poste de conduite)
• La mécanique et les équipements (entretien et dépannage)
• La sécurité du passager et du véhicule (installation des passagers, nouveaux équipements)
• L’environnement (éco-mobilité et éco-conduite)
PRATIQUE
Les leçons de conduite ont lieu en circulation avec des explications et des exercices progressifs. Dans un premier temps, il s’agit de maitriser le véhicule dans un trafic faible. Ensuite, il faut apprendre à gérer l’environnement, partager la route avec les autres usagers, circuler dans une circulation dense et des conditions de plus en plus difficiles. Les dernières leçons favorisent l’autonomie et l’écoconduite. A chaque fois, l’élève est incité à prendre conscience des risques, des influences, des pressions, à s’auto-évaluer et à remplir son livret de formation pour suivre sa progression. En cours et en fin de formation des bilans sont réalisés.
CONDITIONS DE PASSAGE DES EPREUVES DE L’EXAMEN
L’épreuve se déroule sur une durée de 32 minutes. Un enseignant vous accompagne sur le centre d’examen. Il est assis à l’arrière tandis que l’inspecteur prend place à l’avant côté passager. C’est lui qui vous évalue. Après avoir vérifié votre identité celui-ci vous présente les modalités, le déroulement et les attentes de l’examen.
Votre examen consiste en un bilan de compétences devant être acquises pour conduire en sécurité :
– Réalisation d’un parcours empruntant des voies à caractère urbain, routier et/ou autoroutier.
– Suivi d’un itinéraire de manière autonome pendant environ cinq minutes.
– Réalisation de manœuvres
– Réponses à des questions de vérification d’un élément technique à l’intérieur ou à l’extérieur du véhicule, à une question en lien avec la sécurité routière et enfin à une question sur les premiers secours.
L’élève devra appliquer les règles du code de la route, adapter sa conduite dans un souci d’économie de carburant et de limitation de rejet de gaz à effet de serre ainsi que faire preuve de courtoisie envers les autres usagers et notamment les plus vulnérables.
L’inspecteur réalise une analyse des points positifs et négatifs restitués par rapport à une compétence donnée et retranscrit de façon formelle ce bilan dans une grille d’évaluation.
Le résultat est consultable sous 48 h après le passage de l’examen sur le site de la Sécurité Routière : securite-routiere.gouv.fr onglet « résultat du permis de conduire ».
En cas de réussite vous devrez imprimer ou télécharger votre Certificat d’Examen du Permis de Conduire (valable 4 mois) en attendant votre permis de conduire.
Il existe trois formules d’apprentissage comportant une phase de conduite accompagnée :
• l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) qui peut être pratiqué dès 15 ans ;
• la conduite supervisée (CS) qui peut être pratiquée à partir de 18 ans ;
• la conduite encadrée pour les élèves des établissements préparant aux métiers de la route (CAP et BAC professionnel).
Ces trois formules permettent, après une formation initiale, d’acquérir une expérience au volant en toute confiance, sous le contrôle d’un accompagnateur, dans les conditions de circulation les plus variées possibles, avant le passage des épreuves pratiques et l’obtention du permis de conduire et de l’autonomie.
L’auto-école PERMIS-CENTER MELUN forme à l’apprentissage anticipé de la conduite et à la conduite supervisée.
L’apprentissage anticipé de la conduite (AAC)
Pour s’inscrire, il faut :
– Être âgé de 15 ans minimum
– Avoir l’accord du représentant légal et de l’assureur du véhicule utilisé dans le cadre de l’accompagnement hors formation auto-école.
Déroulement de la formation initiale en école de conduite :
– faire une évaluation de départ préalable
– suivre une formation théorique sur les règles du code la route permettant de préparer l’épreuve théorique générale (code) et comprendre les enjeux de la sécurité routière.
– valider 20 heures de formation pratique minimum (13 heures en BEA)
– obtenir le code
– atteindre un niveau de conduite suffisant pour conduire avec un accompagnateur, ce qui se traduit par la délivrance de l’attestation de fin de formation initiale (AFFI)
Déroulement de la phase de conduite accompagnée :
– participer à un rendez-vous préalable de 2 heures, en présence de l’accompagnateur, pendant lequel l’enseignant dispense ses conseils pour la phase de conduite accompagnée
– conduire avec l’accompagnateur sur une durée minimale d’un an et parcourir au moins 3 000 Km dans des conditions de circulation variées
– un suivi est assuré par l’école de conduite sous la forme de deux rendez-vous pédagogiques obligatoires avec l’élève et son accompagnateur, l’un entre 6 et 8 mois de conduite (et environ 1 000 kilomètres parcourus), l’autre à l’issue des 3 000 km. Lors du deuxième rendez-vous pédagogique le formateur décide si le candidat est prêt à passer l’épreuve pratique du permis de conduire lorsqu’il aura 17 ans et demi, s’il remplit les conditions de kilométrage parcouru et de durée de conduite accompagnée
Les règles à respecter pendant la phase de conduite accompagnée :
– Utiliser un véhicule équipé de deux rétroviseurs latéraux et du disque « conduite accompagnée » à l’arrière
– Être sous la surveillance constante d’un accompagnateur titulaire du permis B de puis au moins 5 ans sans interruption, ayant eu l’accord de l’assureur pour remplir cette fonction et mentionné sur le contrat signé avec l’auto-école (plusieurs accompagnateurs possibles)
– Respecter les règles du code de la route et tout particulièrement les limitations de vitesse destinées aux conducteurs novices
– Parcourir les 3 000 km sur les parcours les plus variés possibles et participer activement aux rendez-vous pédagogiques à l’auto-école
– Avoir toujours avec soi en conduite accompagnée le livret d’apprentissage et le document d’extension de garantie de l’assurance. Ces deux documents tiennent lieu de justificatif en cas de contrôle par les forces de l’ordre
– Bien indiquer dans le livret d’apprentissage, après chaque sortie, les parcours effectués (nombre de km, type de routes, difficultés éventuelles…), afin de pouvoir en parler avec l’enseignant.
– Ne pas franchir les frontières françaises.
Les avantages
FINANCIERS :
– diminuer le coût de la formation car le niveau demandé pour l’obtention de l’AFFI n’est pas celui de la présentation au permis de conduire
– augmenter sensiblement ses chances de réussite à l’examen du permis de conduire (74% de chances de l’obtenir dès la première présentation contre 55% par la voie de l’apprentissage traditionnel)
– obtenir un tarif réduit sur l’assurance jeune conducteur
PRATIQUES :
– réduire la période probatoire à 2 ans au lieu de 3 ans
– commencer la formation initiale en école de conduite (code et conduite) dès 15 ans
– passer l’épreuve du permis de conduire à 17 ans et demi ; attention la conduite seule n’est possible qu’à partir de 18 ans
SECURITAIRES :
– acquérir de l’expérience sur des parcours de typographies différentes et variées, pendant les 4 saisons
– acquérir de l’autonomie et de l’expérience en étant accompagné pendant plusieurs de centaines de kilomètres
La conduite supervisée (CS)
Principe :
Cette formule s’adresse aux candidats de 18 ans et plus, qui souhaitent acquérir une expérience de conduite avant le passage de l’examen du permis de conduire ou après un échec à l’épreuve pratique. Comme pour la conduite accompagnée, le candidat de 18 ans et plus doit au préalable avoir réussi l’épreuve du code et suivi au moins 20 heures de conduite en école de conduite. C’est l’enseignant qui autorise la personne à opter pour cette possibilité en fonction du degré de maîtrise du véhicule, des compétences et des comportements qu’il a observés chez le candidat.
Déroulement :
Après la phase de formation initiale ou un échec à l’épreuve pratique du permis de conduire, l’élève doit :
– obtenir un accord préalable écrit de la société d’assurances du véhicule, précisant le ou les noms des accompagnateurs
– avoir atteint un niveau de conduite suffisant pour conduire avec un accompagnateur, ce qui se traduit par la délivrance de l’attestation de fin de formation initiale (AFFI)
– participer à un rendez-vous préalable de 2 heures, en présence de l’accompagnateur, pendant lequel l’enseignant dispense ses conseils pour la phase de conduite accompagnée
– conduire avec un accompagnateur, titulaire du permis B depuis au moins 5 ans sans interruption, ayant eu l’accord de l’assureur pour remplir cette fonction et mentionné sur le contrat signé avec l’auto-école (plusieurs accompagnateurs possibles). Il n’y a pas de durée ni de kilométrage minimal à respecter.
Les avantages
– d’acquérir de l’expérience de conduite à moindre coût pour compléter sa formation initiale et, en cas d’échec à l’examen pratique, améliorer ses acquis en attendant de le repasser
– augmenter sensiblement ses chances de réussite à l’examen du permis de conduire
– gagner en autonomie
– une prise de confiance en peu de temps
L’apprenant est encadré et accompagné systématiquement grâce au référent administratif qui a harmonisé avec le référent pédagogique le programme, les moyens et les outils pédagogiques.
Tous les acteurs sont impliqués dans une même harmonie pédagogique. Le but est d’éviter le décrochage de la formation par l’apprenant, à cause d’un manque de visibilité ou de la perte de repères ou de référent.
OUTILS POUR LE SUIVI TOUT AU LONG DE LA FORMATION
• L’évaluation de départ : Obligatoire avant l’inscription, son rôle est de donner un nombre d’heures et un calendrier prévisionnels de formation à l’apprenant.
• Bilan de fin de forfait : 4 heures avant la dernière heure du forfait initialement choisi, un bilan de fin de forfait est mis en place pour informer l’apprenant de son positionnement par rapport à son évaluation de départ initiale.
• Bilan de progression : Préconisé à l’issue du bilan de fin de forfait ou à la demande du moniteur ou de l’élève.
• Débriefing : Après chaque échec à l’examen, se bilan permet d’échanger avec l’apprenant sur ses lacunes de savoir-faire, savoir-être et savoir devenir qui ont été jugées insuffisante par l’IPCSR. Il se déroule avant examen sur la base du bilan de compétence retraçant le CEPC afin d’établir le processus d’accompagnement personnalisé à chaque apprenant.
Un processus d’accompagnement correcteur permet de garder confiance et de sortir le positif d’une situation négative.
• Chaque bilan ou évaluation sera édité en 2 exemplaires.
• Chaque exemplaire sera signé du moniteur et de l’apprenant.
• 1 exemplaire sera remis à l’apprenant sous forme papier et à sa demande en format numérique.
• Le référent pédagogique en prendra connaissance et en discutera avec le moniteur.
• Le référent administratif en conservera un exemplaire.
• Il pourra en remettre sur demande aux OPCO ou Entreprises.
Outils dématérialisés :
• Livret Mobile (Livret d’apprentissage dématérialisé) est l’application MOUNKI qui permet à l’apprenant de suivre 24h/24h sa progression. Outil de progression et de suivi, il permet d’échanger avec le moniteur ou les différents moyens humains pour éviter le décrochage. La consultation par un tiers aide à l’accompagnement et donc au décrochage.
• PackWeb de code Rousseau pour la formation théorique permet aux moyens humains et aux tiers de suivre la progression, l’implication, la régularité de l’apprentissage. Une passerelle au SAV ou à l’auto-école permet de poser des questions en direct avec une garantie de réponse sous 24 heures.
• L’envoi du planning de formation dématérialisé par "HarMobil" , à chaque prise de rendez-vous ou de modification de rendez-vous, permet un accès simple, lisible et à jour de la progression, l’implication, la régularité de l’apprentissage.
La prise en compte du handicap
L’auto-école PERMIS-CENTER MELUN est non spécialisée dans la prise en compte du handicap. Nos enseignants ne sont pas formés spécifiquement à la prise en charge du handicap.
Pour autant, elle souhaite accompagner les élèves atteints d’un handicap physique et / ou mental léger en vue de l’obtention de leur permis de conduire.
Procédure :
Analyser la situation de la personne
Vérifier l’adéquation handicap / projet
Anticiper les aménagements et les compensations
Aborder la question du handicap
Voir recueil des besoins
Cette étape doit permettre à notre référent handicap Anna de déterminer, en toute connaissance de cause, le type d’accompagnement à mettre en œuvre pour le demandeur :
soit construit en interne (équipe de Permis-center)
soit, en fonction de la situation, réorienter le demandeur vers une auto-école
spécialisée.
http://www.automobile.ceremh.org
Quelques-uns de nos partenaires (pour information) :
AGEFIPH : Fonds pour Insertion Professionnelle Personnes Handicapées https://www.agefiph.fr
MDPH : Maison départementale des personnes handicapées https://www.mdph77.fr/fr ADHF : Association des handicapés de France http://www.adhf-asso.org
Recueil des besoins
Nom et prénom :
- Quelle est la nature de votre handicap et quelles difficultés pensez-vous avoir pour suivre la formation ?
- Quelles sont les adaptations qui vous sembleraient nécessaires pour vous permettre de participer à la formation (au regard notamment de vos expériences passées) ?
- Etes-vous accompagné(e) ou avez-vous été accompagné(e) par une structure ou une personne ressource pour votre Handicap ? Si oui, coordonnées :
- Avez-vous connaissance des moyens techniques et ressources pédagogiques mis à disposition par l'Etat
oui non
Quelques-uns de nos partenaires (pour information) :
AGEFIPH : Fonds pour Insertion Professionnelle Personnes Handicapées https://www.agefiph.fr
MDPH : Maison départementale des personnes handicapées https://www.mdph77.fr/fr ADHF : Association des handicapés de France http://www.adhf-asso.org
L’apprenant est encadré et accompagné systématiquement grâce au référent administratif qui a harmonisé avec le référent pédagogique le programme, les moyens et les outils pédagogiques.
Tous les acteurs sont impliqués dans une même harmonie pédagogique. Le but est d’éviter le décrochage de la formation par l’apprenant, à cause d’un manque de visibilité ou de la perte de repères ou de référent.
DEROULEMENT DE LA FORMATION Cat.B
Avant l’inscription et le début de la formation, une évaluation de départ est réalisée soit sur ordinateur, soit sur simulateur, soit en véhicule. Elle permet de définir un volume prévisionnel de formation et d’adapter l’enseignement au profil et aux caractéristiques de chacun.
THEORIE
La formation théorique B (ETG) comprend des cours et des tests effectués en présentiel ou à distance et une sensibilisation sur les principaux facteurs d’accident, au travers de cours collectifs animés par un enseignant, sur rendez-vous et selon le planning affiché à l’auto-école.
Les 10 thèmes sont :
• La circulation routière (panneaux, intersections, circuler, croiser et dépasser, stationner ou s’arrêter)
• Le conducteur (conduire, défaillances du conducteur)
• La route (nuit et intempéries, autoroute, zones dangereuses)
• Les autres usagers (partage de la route)
• Les notions diverses (documents administratifs, chargement et passagers, infractions)
• Les premiers secours (protéger, alerter et secourir)
• Prendre et quitter son véhicule (s’installer au poste de conduite)
• La mécanique et les équipements (entretien et dépannage)
• La sécurité du passager et du véhicule (installation des passagers, nouveaux équipements)
• L’environnement (éco-mobilité et éco-conduite)
PRATIQUE
La formation pratique B peut débuter par cinq heures sur simulateur, pour ceux qui n’ont jamais conduit auparavant. Les leçons de conduite ont lieu en circulation avec des explications et des exercices progressifs. Dans un premier temps, il s’agit de maitriser le véhicule dans un trafic faible. Ensuite, il faut apprendre à gérer l’environnement, partager la route avec les autres usagers, circuler dans une circulation dense et des conditions de plus en plus difficiles. Les dernières leçons favorisent l’autonomie et l’écoconduite. A chaque fois, l’élève est incité à prendre conscience des risques, des influences, des pressions, à s’auto-évaluer et à remplir son livret de formation pour suivre sa progression. En cours et en fin de formation des bilans sont réalisés.
Plan de gestion des réclamations
Réception d’une réclamation
Lorsque nous recevons une réclamation, nous devons renseigner notre registre des réclamations en précisant : le nom du client, la date de réception de la réclamation, l’objet de la réclamation, le contrat, produit ou service visé par la réclamation, les intervenants autres que le professionnel, les personnes visées par la réclamation.
Accuser réception de la réclamation
Nous disposons de 10 jours à compter de la réception de la réclamation pour en accuser réception au client ou y répondre immédiatement.
Nous devons mettre à jour notre outil de suivi des réclamations en indiquant la date à laquelle nous avons accusé réception de la réclamation et veiller à son traitement dans les délais impartis.
Répondre à la réclamation
Nous devons tenir le client informé du déroulement du traitement de sa réclamation et lui répondre dans un délai de 2 mois à compter de la réception de la réclamation.
Si, dans notre réponse apportée à la réclamation, nous rejetons totalement ou partiellement la demande du client, nous devons lui indiquer les voies de recours dont il dispose.
La personne qui va répondre à la réclamation doit disposer d’un niveau de qualification suffisant (elle doit avoir une bonne connaissance des produits, services, contrats,...) et du niveau d’habilitation nécessaire (exemple : pour la signature des courriers ou les gestes commerciaux consentis).
Nous devons mettre à jour notre outil de suivi des réclamations en indiquant la date et la réponse apportée à la réclamation ainsi que les dysfonctionnements identifiés.
Performer notre pratique professionnelle
A partir des réclamations reçues et des dysfonctionnements, manquements ou mauvaises pratiques identifiés, nous devons déterminer et mettre en œuvre les actions correctives.
Voir formulaire de réclamations